Il arrive que l’université Paris-Nanterre accueille des pensionnaires bien particuliers.
Les abeilles, tout d’abord, semblent bien s’épanouir sur le campus de la faculté. Des ruchers ont été installés au printemps 2018, pour aider à leur sauvegarde (les abeilles ont été officiellement reconnues comme une espèce en voie de disparition en 2016, Ndlr). Une deuxième récolte, fructueuse, du miel de ces ruches a eu lieu récemment, comme en témoigne Jean-François Balaudé, président de l’université Paris-Nanterre.
210kg contre 180 l’an dernier… es abeilles se plaisent sur le campus (comme les paons)! Et bravo aux apiculteurs bien sûr? https://t.co/41OiKtBjzv
— Balaudé J.-François (@JFBalaude) August 28, 2019
Mais en passant sur le campus, il est possible de faire des découvertes encore plus rares et originales. C’est en tout cas ce qui est arrivé la semaine dernière à Gilles Bruno, rédacteur en chef de l’Observatoire des médias, qui a partagé sa rencontre avec une famille de paons.
Ce midi, à @UParisNanterre, j'ai fait une rencontre étonnante. pic.twitter.com/h342Yj9eqW
— Gilles BRUNO (@gillesbruno) August 23, 2019
SOURCE : TWITTER | CREDIT PHOTO : TR 92 |