La ville de Clichy et l’Etat ont signé, lundi 25 novembre, une convention pour aider les personnes victimes de violences conjugales à aller constater leurs blessures.
Cette convention leur permet de bénéficier de bons de transport en taxi, afin de pouvoir aller gratuitement faire constater leurs blessures, ce qui doit être fait, dans le cadre d’un dépôt de plainte, à l’unité médico-judiciaire de Garches ou d’Argenteuil. Le transport sera assuré par la compagnie de taxis G7, signataire de cette convention avec la ville, la préfecture et la police nationale.
En cas de danger, la police nationale peut également décider de donner des bons d’hébergements à la victime, afin que celle-ci puisse bénéficier de nuits d’hôtel (jusqu’à trois nuits). Ces bons de taxi et d’hébergement sont financés par le Centre communal d’action sociale (CCAS).
Le Parisien précise que plusieurs autres communes des Hauts-de-Seine ont déjà mis en place ce système de bons de taxi, à savoir Suresnes, Courbevoie, Clamart, Gennevilliers et Nanterre. La société G7 a précisé qu’aucune commission ne serait prise sur ces trajets.
En cette journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, le CCAS de Clichy et l'État ont signé une convention afin d'aider les femmes victimes de violences avec des bons taxis et des bons d'hébergement.
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— Clichy-la-Garenne (@villeclichy) November 25, 2019
| SOURCE : TWITTER / MAIRIE DE CLICHY | CREDIT PHOTO : TR 92 |
